Il y a fort fort longtemps
D’aussi
loin que je me souvienne, j’ai toujours été fasciné par la nature, ses
phénomènes, mais aussi par les êtres vivants qui y évoluent. C’est une
constante, un fil conducteur qui m’a guidé jusqu’à maintenant.
Monde minéral, végétal
ou animal, j’ai toujours pris plaisir à ouvrir une parenthèse dans le temps qui
court pour observer, contempler, admirer cet univers dans lequel nous évoluons
tous.
Jusqu’il y a peu, je n’avais jamais vraiment pris conscience de ça, mais,
simplement, cela a toujours fait partie de ma vie. J’étais (et je suis toujours)
capable de rester planté en admiration devant un arbre ou un rocher pendant de
longs moments, pour peu qu’il me provoque une émotion, ou bien qu’il éveille ma
curiosité.
Rêves de gosse
Les événements ne se passant
pas comme je l’espérais, j’ai continué mes études en Fac.
Quand je préparais les concours pour devenir pilote, j’ai suivi ma frangine qui travaillait le concours d’entrée pour devenir vétérinaire et je me suis inscrit avec elle en DEUG Biologie. Mes études m’ont finalement amené à faire un DEA en géosciences de l’environnement, en passant par des diplômes de géologie fondamentale et océanologie (j’ai adoré ça. Je dis souvent que je suis géologue parce que c’est vrai, je suis géologue dans l’âme).
Quand je préparais les concours pour devenir pilote, j’ai suivi ma frangine qui travaillait le concours d’entrée pour devenir vétérinaire et je me suis inscrit avec elle en DEUG Biologie. Mes études m’ont finalement amené à faire un DEA en géosciences de l’environnement, en passant par des diplômes de géologie fondamentale et océanologie (j’ai adoré ça. Je dis souvent que je suis géologue parce que c’est vrai, je suis géologue dans l’âme).
Quand il a fallu concrétiser l’ensemble de ce
savoir et entrer dans la vie active, j’ai essuyé bon nombre de refus, d’échecs,
et je me suis réorienté vers la discipline que je connaissais le mieux en plus
de la géologie : l’informatique.
La communication, une constante
L’informatique et les sciences de la nature, bien que sur le
papier assez éloignées, ne sont pas incompatibles. Au contraire. Pour un esprit
rigide et cartésien comme le mien, c’était même et c’est toujours un excellent
moyen de trouver un équilibre entre la rigueur, le pragmatisme, la structure
d’une part, et l’évasion, l’imagination, la féérie d’autre part.
Les métiers de
l’informatique ont d’ailleurs largement participé à la construction de la
personne que je suis maintenant. Au-delà de l’aspect technique et binaire que
nous pouvons tous imaginer, mes différentes missions ont toujours révélé les
mêmes constantes : l’écoute, la communication, et la transmission.
Quelles
que soient les orientations que j’ai pu prendre, elles ont toujours été présentes,
comme une évidence : communiquer avec mes équipes, les écouter et leur
transmettre des connaissances, ou même encore faire communiquer entre eux des
mondes fonctionnels et techniques et leur transmettre les moyens de s’écouter
et de se comprendre.
Apprendre à se connaitre
Il y a de çà quelques années, je suis entré dans une
démarche d’évolution plus spirituelle. C’est un bien grand mot, mais si je
devais simplifier, je dirais simplement que je me sentais mal à l’aise dans ma
vie de tous les jours et qu’il était temps de se libérer de bon nombre de
schémas, croyances et autres blocages
qui paralysaient et conditionnaient mes choix et ma manière d’être.
Je ne
rentrerai pas dans le détail des méthodes que j’ai pu expérimenter. Tout un
chacun a sa propre approche, ses propres croyances et aussi ses propres
limites. Mais le fait est qu’au fil des ans, bien accompagné par mes amis et par des personnes de
confiance, j’ai pu retrouver un équilibre et doucement m’épanouir.
De manière assez inattendue, j’ai recommencé à observer mon environnement, la nature autour de moi, les lieux, les personnes, mais avec de nouvelles perceptions, de nouvelles sensations… et ce jusque dans mon corps physique… Un peu ce que je faisais quand j’étais gosse, mais en mode ++.
De manière assez inattendue, j’ai recommencé à observer mon environnement, la nature autour de moi, les lieux, les personnes, mais avec de nouvelles perceptions, de nouvelles sensations… et ce jusque dans mon corps physique… Un peu ce que je faisais quand j’étais gosse, mais en mode ++.
Ouvrir ses horizons
Dès lors, de la même manière
qu’en informatique, j’ai cherché à apprendre et à utiliser des outils pour me
permettre d’aller plus avant dans ces découvertes. Je pratiquais déjà la
radiesthésie. Je m’y étais intéressé parce que j’étais en quête de nouvelles
expériences pour ouvrir un peu plus mes horizons.
En complément à ça, j’ai entendu parler de la géobiologie. Je l’ai vécu comme une révélation. J’avais enfin trouvé une discipline me permettant d’observer, étudier ce qu’il se passe dans un lieu , mais à un niveau subtil, avec une démarche structurée et surtout me permettant d’agir en vue d’harmoniser ce lieu et ainsi permettre aux personnes qui y vivent de se sentir mieux et même d'éviter de possibles soucis de santé.
Fort de ce constat, j’ai suivi des formations avec un géobiologue professionnel très expérimenté puis j’ai commencé à pratiquer. Mesures des équilibres cosmo-telluriques (détection de veines d'eau ou de failles souterraines pouvant générer des points géo-pathogènes), mesures des champs électro-magnétiques et des plans subtils, mise en place de moyens pour les rééquilibrer : ceci est un bref aperçu de ce que je suis maintenant amené à faire lorsque je travaille sur un lieu.
En complément à ça, j’ai entendu parler de la géobiologie. Je l’ai vécu comme une révélation. J’avais enfin trouvé une discipline me permettant d’observer, étudier ce qu’il se passe dans un lieu , mais à un niveau subtil, avec une démarche structurée et surtout me permettant d’agir en vue d’harmoniser ce lieu et ainsi permettre aux personnes qui y vivent de se sentir mieux et même d'éviter de possibles soucis de santé.
Fort de ce constat, j’ai suivi des formations avec un géobiologue professionnel très expérimenté puis j’ai commencé à pratiquer. Mesures des équilibres cosmo-telluriques (détection de veines d'eau ou de failles souterraines pouvant générer des points géo-pathogènes), mesures des champs électro-magnétiques et des plans subtils, mise en place de moyens pour les rééquilibrer : ceci est un bref aperçu de ce que je suis maintenant amené à faire lorsque je travaille sur un lieu.
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Pour rééquilibrer le lieu, j'utilise des pierres levées. Au delà de l'efficacité de cette méthode, le fait de manipuler des pierres (ce qui, pour un géologue de formation, est une évidence) apporte une relation de partage supplémentaire. Autant la pierre doit réagir positivement vis à vis du lieu et des personnes qui y vivent, autant les personnes concernées doivent avoir un bon ressenti vis à vis de la pierre.
Et pour pouvoir faire tout cela, non seulement j'écoute et j'apprends à connaitre le lieu, mais j’écoute et j’apprends aussi à connaitre les personnes pour qui et avec que je le fais. En définitive, je les accompagne vers un objectif très simple : leur bien-être.
Et ça, c’est fantastique.
Namasté